Le fils prodigue (败家仔: 1981)

The Prodigal Son est un film d’arts martiaux hong-kongais réalisé par Sammo Hung, sorti en 1981, avec Yuen Biao et Lam Ching-ying en vedette. Le film s’inspire de l’histoire de Liang Zan, un maître d’arts martiaux de la fin de la régence Qing. Ce travail a fait la renommée de Lam Ching-ying et lui a valu le prix de la meilleure réalisation d’action aux 2e Hong Kong Film Awards.

Leung Jan (梁贊, Liáng zàn), né en 1826, mort en 1901, est un pratiquant chinois de Wing Chun, un art martial chinois. Leung était docteur herboriste dans la ville de Foshan (Chine) et était aussi connu comme « Monsieur Jan de Foshan » (佛山贊先生, Foshan Zan Xiānsheng).

Liang Zan (Yuan Biao) est un homme d’affaires de Foshan qui pratique les arts martiaux. Étant donné qu’il est le seul fils de la neuvième génération, ses parents envoient toujours de l’argent aux adversaires de Liang Zan afin de simuler la perte de ses adversaires, ce qui lui permet de gagner tout le temps sans la moindre égratignure. Selon Zan, sa compétence en kungfu est telle quil est désigné comme « le maître de la rue«  ou encore « Zan le bagarreur ». Cependant, les habitants de Foshan le surnommaient en privé « Le fils de papa» et méprisent ce fils prodigue qui essayait juste de devenir célèbre.

Yuen Biao (元彪) au centre

Un jour, Da Shaowen, un bon ami de Liang Zan, se rend à un opéra où l’actrice principale est une femme très belle. Il tente de la séduire en vain et décide de la corriger. Il est ridiculisé par l’actrice qui se révèle être un homme (car à l’époque, les femmes étaient interdites dans le domaine du théâtre).

Lam Ching-ying (林正英, 27 décembre 1952 – 8 novembre 1997), né sous le nom de Lam Gun-bo (林根寶), est un cascadeur, acteur, et chorégraphe de scènes d’action hongkongais très connu en Asie pour son interprétation du prêtre taoïste dans Mr. Vampire (1985).

En proie à la haine, il se rendit chez Liang Zan pour solliciter son aide, mais il fut vaincu et ridiculisé à son tour par Liang Erdi, qui est également un artiste martial très compétent en Wing Chun.

Sa brillante performance n’était alors qu’une illusion engendrée par l’argent envoyé par ses parents. Lorsque Zan  découvre la vérité, il choisit de prendre Liang Erdi comme professeur. Cependant, Erdi était convaincu que Liang Zan était tellement prétentieux et arrogant qu’il refusa de l’accepter comme apprenti. Ainsi, Zan demanda à ses parents d’acheter toute la troupe de théâtre pour pouvoir se rapprocher d’Erdi et devenir son élève.

Ni Fei (Chen Xunqi) est un artiste martial de renommée mondiale, fils adoptif du prince Seng Gelinqin de la dynastie Qing, se rend souvent en voyage avec deux gardes du corps, Sun et Luo, à la recherche de maîtres de tous styles martiaux avec lesquels il pourrait rivaliser. Bien que l’expression « échange martial » soit utilisée, Ni Fei combat avec toutes ses forces et, par conséquent, ceux qui perdent contre lui seront tués ou handicapés, quoi qu’il arrive.

Un jour, lorsqu’il assistait à une pièce dans une troupe de théâtre, il fut frappé de constater les incroyables talents de Liang Erdi en arts martiaux et souhaita le défier. Pendant un banquet, il utilisa de manière détournée un langage insistant et ainsi trouva l’occasion de provoquer le maître de la troupe de théâtre et ainsi le contraindre à se battre dans un combat « loyal ». Liang Erdi se retrouvant donc « pris au piège », il ne put refuser. Au milieu de la bataille, Liang Erdi est affaibli par une crise d’asthme. Après avoir vu cela, le combat prit fin et Ni Fei décida de le reporter et de laisser le maître se reposer avant de reprendre ce merveilleux combat plus tard.

Ni Fe accompagné de deux gardes du corps, Sun et Luo

Ignorant que son père avait secrètement demandé à Sun et Luo de le surveiller afin que Ni Fei ne se blesse pas, voire même de perdre la vie  lors d’un de ses combats, (allant même jusqu’à leur demander de tuer toutes les personnes qui pourraient se mettre en travers de la route du jeune prince), Sun et Luo, voyant que leur jeune maître aurait pu perdre le combat contre Liang Erdi demandèrent à un groupe de tueurs d’attaquer la troupe de théâtre de nuit. Ils tuèrent les hommes et les femmes du théâtre, leur tranchant la gorge.

Malgré la découverte immédiate de Liang Erdi, son asthme n’étant pas guéri  il ne put se défendre contre les gardes du corps qui l’attaquèrent. Heureusement, Liang Zan arriva à temps et il réussit à le sauver et tous deux s’enfuirent.

Les deux compères se sont réfugiés dans une hutte près du frère aîné de Di afin de se remettre de leurs émotions. Bien que Liang Zan ait sauvé Erdi et qu’il ait été très bien servi depuis six mois dans la troupe, Erdi demeure toujours très distant à son égard. Aucun merci de sa part.

Huang Huabao joué par Sammo Hun

Selon Liang Erdi, Liang Zan était considéré comme un pratiquant d’arts martiaux uniquement pour être prétentieux même s’il est courageux mais trop hargneux d’après lui, ce qui le contraint à le refuser comme élève. Toutefois, suite à la réplique sévère de Liang Zan et aux propos provocateurs de Huang Huabao, il modifie son opinion et accepte Liang Zan comme son disciple. Malgré l’acquisition du véritable héritage de Liang Erdii par Liang Zan, Liang Erdi n’avait appris que le pont court du Wing Chun alors que son frère possède, lui, les deux techniques de leur école. Liang Zan du coup deviendra également l’élève de Huang Huabao. Liang Zan reçut ainsi la formation des deux maîtres et devient lui-même, un maître puissant. L’asthme de Liang Erdi devient de plus en plus grave, et il était difficile pour lui de se lever du lit. Huang Huabao et Liang Zan ont convenu de ramener Erdi à Foshan pour un traitement.

Revenue à Foshan, il fait la connaissance de Ni Fei et de son entourage lors d’une visite. Aussitôt  Ni Fei lui demande s’ il est de nouveau en forme pour un combat amical, et c’est à ce moment-là que la conversation change de ton et que Liang Er Di  lui demande pourquoi il vient de nouveau le voir, est-ce vraiment pour un combat?. Peut-être parce qu’il n’a pas pu le tuer dans l’incendit du théâtre lui pour le faire taire, mais il riposte et les met plus bas que terre, racontant tout au jeune prince que ses hommes de main ont brûlé et tué la troupe de théâtre, serait-ce de peur de perdre le combat contre lui,même malade ?, ou alors de mourir ?.

Ni Fei leur demande si ce qu’a dit Liang Erdi était vrai sur ce qu’il s’est passé le soir de l’incident du théâtre. Ils répondirent que oui, mais, ils étaient forcés et contraints par son père et lui expliquèrent que depuis des années cela se passe ainsi. Les gardes du corps s’opposent de nouveau et les deux sortent une lame et poignarde Liang Er Di.

Ni fei reste paralysé devant l’horreur de cette scène. Les gardes du coprs expliquent de nouveau que son père les paye pour protéger à tout prix la vie du prince. Ni Fei les frappe et se dirige vers le maître qui se meurt en lui demandant  pardon pour tout car il ne connaissait pas la vérité…. au même moment, rentre Liang Zan et voyant l’horreur de la chose, commence à combattre contre le fils du prince mais il fut arrêté  aussitôt par le maître mourrant lui expliquant qu’il ne faut le tuer car il est fils de Prince et que s’il le faisait, il risque de se faire tuer…  mais il est trop tard….. Liang Erdi meurt de ses blessures.

Lors des funérailles, Ni Fei se rendit sur la tombe de son maître pour y déposer de l’encens empreint de culpabilité.

Ni Fei explique à Zan que ses gardes du corps, Sun et Luo, ont été décapités afin de réconforter l’esprit de Di au paradis.

Il lui  explique aussi qu’il décida de quitter sa famille même si son père, Seng Gelinqin lui dit qu’il perdait son titre de prince….. Zan, malgré les dernières paroles de son maître, décida de combattre Ni Fei et ainsi de venger sa mort. IL remporta le combat grâce à ses puissantes techniques mais aussi avec la colère et la tristesse d’avoir perdu un ami, un maitre, un père.

Les Triades chinoises

les Triades chinoise

Lointaines héritières des sociétés secrètes de la fin du XVIIe siècle, les triades chinoises ( 三合會) forment aujourd’hui une mafia puissante qui n’a plus aucun rapport avec la Triade originelle. Ils sont aujourd’hui plus de 250 000 toutes familles confondues.

Histoire

La Triade originelle était une société secrète née en opposition à la dynastie mandchoue des Qing à la fin du XVIIe siècle. Société patriote, elle voulait restaurer l’ancienne dynastie Ming. Pour ce faire, elle a soutenu pendant des siècles de nombreuses révoltes contre la dynastie mandchoue. Ses membres possédaient un langage codé, des signes de reconnaissance et pratiquaient des disciplines de combat tenues secrètes.

Au XIXe siècle, les sociétés secrètes chinoises étaient à la fois syndicats, sociétés d’entraide, organisations politiques, groupes économiques, etc.

Les sociétés secrètes fonctionnaient comme des syndicats souvent contrôlés par des patrons. Celui qui refusait de devenir membre ne pouvait guère espérer trouver un emploi dans les mines d’étain du sud de la Thaïlande ou les moulins à riz de Bangkok.

Les ang-yi ou tua-hia faisaient également office de société d’assurance et d’entraide pour leurs membres. Elles pouvaient honorer les frais d’un procès devant un tribunal, veillaient à ce que les membres emprisonnés reçoivent un traitement décent, s’occupaient de leur personne en cas de maladie et de leur dépouille en cas de décès.

Les triades auront aussi, très tôt, une dimension politique. Le premier président de la République de Chine, Sun Yat-sen, était lui-même un « 426 », soit un responsable de la sécurité et de la discipline, de la triade des Trois-Harmonies. Entre 1903 et 1908, il fit quatre séjours au Siam au cours desquels il contacta les leaders de diverses sociétés secrètes. Les triades participèrent à une révolte en 1911 qui déboucha sur la défaite des Qing et la proclamation de la République. Plus tard, Tchang Kaï-chek utilisa ses appuis au sein de la bande Verte, une autre société secrète, pour éliminer les communistes de Shanghai. Au Siam, la plupart des leaders de triades allaient devenir des protégés des gouvernements européens et constituer ainsi une menace politique d’un autre genre pour les dirigeants.

Tchang Kaï-chek (蔣介石 né le 31 octobre 1887 à Ching Yang Shui et mort le 5 avril 1975)

La dimension économique des sociétés secrètes connaissait des formes très diverses mais était bien réelle. Les leaders des triades pourvoyaient aux besoins des travailleurs immigrés chinois, tels que les jeux, les alcools, l’opium et les prostituées. Ces commerces étaient alors légaux mais lourdement imposés.

Mais, dès le milieu du XIXe siècle, certains de ses membres avaient rompu avec l’idéal des origines et pratiquaient une violence gratuite au service de leurs seuls intérêts. Des loges de la Triade originelle sont ainsi devenues des gangs de voleurs et d’assassins.

En 1949, les communistes les déclarent hors-la-loi. Elles fuient alors la Chine Populaire pour s’installer à Hong Kong, Macao ou Taïwan. Dès lors, ces sociétés ne sont plus qu’un pâle reflet de leur glorieux passé. Toute leur activité se centre alors autour du crime organisé.

Les triades sont au cœur du trafic de drogue en provenance du Triangle d’or et du Sri Lanka. Cette région, située à cheval sur le Laos, la Thaïlande et la Birmanie, produit chaque année la moitié du volume mondial d’opium et de ses dérivés dont principalement l’héroïne. Les triades sont très présentes dans l’économie mondiale. Elles constituent un grand péril financier. En effet, pour donner un exemple, 1,1 % du PNB américain, soit 50 milliards d’euros, ont été produits par les triades pendant les années 1980.

Le rattachement de Hong Kong à la Chine en 1997 a soulevé quelques inquiétudes chez les dirigeants mafieux. Cependant, le gouvernement chinois témoigne d’une étrange mansuétude à l’égard des triades. Ces groupes très riches réinvestissent une large part de leur argent sale sous forme d’investissements en Chine. Ainsi, le ministre de la Sécurité publique chinois d’alors, Tao Siju, a déclaré en 1995 que « les membres des triades ne sont pas tous des gangsters. S’ils sont de bons patriotes, s’ils assurent la prospérité de Hong Kong, nous devons les respecter. » Il a même affirmé que « le gouvernement chinois est heureux de s’unir à eux. » Le rattachement de Hong Kong et de Macao et l’ouverture économique de la Chine, va ainsi permettre aux triades de se réinstaller massivement sur le continent, principalement la 14K, le gang des bambous unis et le gang des Quatre mers.

 

Organisation

Structure hiérarchique d’une triade.

Les groupements mafieux se divisent en trois niveaux. Au sommet trône un chef nommé Tak khunn, la « tête de dragon ». Il donne les grandes orientations à son groupe. Peu de membres connaissent sa véritable identité. Sous ses ordres, il y a plusieurs responsables. Ils ont conservé les noms traditionnels des officiers de loge.

  • L’« Éventail de papier blanc » s’occupe des finances.
  • Le « Bâton rouge », spécialiste en arts martiaux, se charge du respect de la loi interne.
  • La « Sandale de paille » est déléguée aux affaires extérieures du groupe.
  • Le « Maître des encens » a la tâche de recruter les membres.

Enfin, les membres les plus nombreux sont les « soldats » qui constituent le bras armé de l’organisation. À chaque fonction correspond un code chiffré que l’initié exprime par un simple geste : 489 pour une « tête de dragon », 432 pour une « sandale de paille », ou 49 pour les « soldats ».

L’initiation d’un nouveau membre répond à une cérémonie particulière. On décapite un coq dont le sang est mélangé à un breuvage alcoolisé. Le futur nouveau membre jure alors de rester fidèle à la société. Puis, il s’entaille un doigt et verse quelques gouttes de son sang dans la décoction préparée. Tous les membres présents trempent leurs lèvres dans la coupe afin de sceller sa promesse.

Les triades sont indépendantes les unes des autres. En 2016, on dénombre une dizaine de grandes triades chinoises, parmi lesquelles :

la Sun Yee On(新義安)La Sun Yee On à Hong Kong, née en 1919 à Canton, la plus importante des triades avec 50 000 membres répartis aux États-Unis, en Australie, à Macao, en Thaïlande, au Viêt Nam, au Canada et en République dominicaine, en France, au Benelux, en Allemagne, en Espagne, en Tchéquie et en Russie ;

Fondation

Sun Yee fut fondée par Heung Chin, originaire de Chaozhou, en 1919. Il fut déporté à Taïwan au début des années 1950 et continua à diriger l’organisation depuis l’île. On pense qu’ensuite Sun Yee On fut contrôlée par son fils ainé Heung Wah-yim, qui officiellement travaillait comme employé dans un cabinet juridique.

Affaire Anthony Chung

En , un ancien officier de police de Hong Kong, Anthony Chung, qui était devenu un membre de Sun Yee On, demanda la protection de la police. Il identifia Heung Wah-yim comme le chef de la triade et cela conduisit la police à arrêter onze membres de la Triade le . En perquisitionnant le cabinet juridique de Heung Wah-yim, la police trouva la liste de 900 noms numérotés de ce qui semblait être une liste des membres de l’organisation. En octobre, eut lieu le procès de Heung Wah-yim et de cinq complices, les cinq plaidant coupables. Heung Wah-yim protesta de son innocence pendant le procès, proclamant qu’il n’était que le président de la section locale du Lions Club et que la liste trouvée dans son bureau n’était qu’une liste de donateurs potentiels. Chung et un autre ancien membre de l’organisation criminelle étaient les principaux témoins à charge. Le , le jury déclara coupables cinq des accusés (dont Heung Wah-yim qui fut condamné à sept ans et demi de prison) et acquitta le sixième.

Postérité


Chen « Uncle Po » 

Uncle Po est l’actuel Tête de dragon des Sun Yee On depuis plusieurs années. Po aime donner l’image d’un grand-père inoffensif. Il consacre de l’argent et du temps à des œuvres de charité et c’est un bienfaiteur reconnu dans les quartiers contrôlés par les Sun On Yee. Même au sein des triades, il cultive son image de négociateur et d’homme d’affaires pragmatique, mais son apparence « respectable » est à l’opposé de sa carrière de criminel. Son ascension au sein des Sun On Yee a été marquée par une violence extrême à tous les niveaux. L’emprise de Po sur la triade reste totale. Des rapports indiquent que les autres Bâtons rouges se sont résolus à attendre qu’il prenne sa retraite ou meure pour espérer prendre un jour sa place.

Lim Lee

Lim Lee, actuel bras droit d’Oncle Po est une figure emblématique à Hong Kong pour ses nombreux commerces dans la pornographie et le cinéma. Jugé comme un homme d’affaires, Lim a de bonnes relations avec plusieurs membres de la triade dont Henry Chun qui travaillerait avec lui sur plusieurs activités telles que la pornographie ou encore le proxénétisme. C’est un homme d’une grande importance au sein des Sun Yee On même si celui-ci s’avère plus intéressé vers son côté businessman que sa triade.

 

SCREENSHOTS - Sun Yee On (新義安) - Triad organization 1345558083-mugshot3
Henry « Big Chun » Chun

Henry Chun ou encore Big Chun est l’un des Bâton rouge les plus puissant chez les Sun On Yee. Il est largement détesté par les autres Bâtons rouges et de nombreux subalternes de la triade. Le pouvoir de Chun est basé sur deux éléments principaux : sa propension à utiliser des niveaux de violence extrême (même selon les critères de la triade) et la grande quantité d’argent liquide dégagé par ses diverses activités commerciales. Il semblerait qu’Henry travaille avec Lim Lee dans de plusieurs domaines. Big Chun se voit comme le successeur naturel pour remplacer le chef actuel de les Sun On Yee, une fois que celui-ci sera mort. Il n’est pas assez stupide pour agir tant qu’Uncle Po est en vie.

SCREENSHOTS - Sun Yee On (新義安) - Triad organization 1345558083-mugshot4
Sonny « Sun » Wang

Sonny Wang est le dernier membre a avoir été promu Bâton rouge des Sun Yee On pour sa motivation et son dévouement exemplaire. Contrairement à Big Chun, Sonny est une personne ambitieuse s’attachant aux traditions de sa triade. Il contrôle un quartier de la ville de Los Santos avec son gang de rue nommé Dragon Street Boys et son ami d’enfance Wu Shun qui l’a suivit depuis son arrivée à la Sun Yee On.

la Fédération Wo

la Fédération Wo, à Hong Kong, née en 1908, 28 000 membres répartis au Canada, en Chine populaire et aux États- (Boston, Los Angeles, Portland, San Francisco) essentiellement présente à Kowloon, Taiwan.et dans les New Territories.

la 14K,

La « 14K » résulte de l’unification des Triades du Sud-Est de la Chine en 1947 par le chef du Service de Renseignements militaire nationaliste, le général Kot Siu Wong. Elle s’installe à Canton, au siège de la Triade Hung Mun, 14 route Po Wah. Le 14 devient ainsi la désignation de la nouvelle Triade. Dès 1949 elle s’établit à Hong Kong où elle est l’une des plus importantes Triades. Elle est implantée en Australie, au Canada, en Chine Populaire, aux Etats-Unis (Boston, Chicago, Houston, Los Angeles, New York), en Grande-Bretagne, à Macao, aux Pays-Bas, à Taiwan, aux Philippines, au Japon.

le Groupe Luen

le Groupe Luen , à Hong Kong, compte 8 000 membres en Chine et à l’étranger, notamment à Toronto ;

La « Bambou Uni »

La « Bambou Uni », créée en 1956 à Taiwan. Elle est composée de 13 clans, chacun spécialisé dans une forme de criminalité. Elle compterait quelque 10 000-20 000 membres. Elle est active dans les secteurs de la construction, du recouvrement de dettes, de l’usure, des services de gardiennage et des  » salons de massage « .Elle est implantée au Canada, au Japon, aux Etats-Unis (Atlantic City, Chicago, Denver, Honolulu, Los Angeles, Miami, New York, Phonix, San Francisco).

la Bande des Quatre Mers

La « Bande des 4 Mers », est implantée à Taiwan, qui compterait environ 2 000-5 000 membres. Elle est active dans les secteurs de la construction, du recouvrement de dettes, des services de gardiennage et des  » salons de massage « .

le Grand Cercle

Le « Grand Cercle » basé en Chine Populaire, s’est spécialisé dans de trafic de l’immigration illégale et a des ramifications au Canada et aux Etats-Unis.

La Tian Dao Man

La Tian Dao Man, est implantée à Taiwan. Elle compte quelques centaines de membres et s’est spécialisée dans les secteurs du recouvrement de dettes, du gardiennage et des  » salons de massage « .

La « Sung Lian »,

La « Sung Lian », à Taiwan, compte quelques centaines de membres et est spécialisée dans le recouvrement de dettes et les  » salons de massage « .

NB : Voici le lien de nôtre page YouTube sur trois vidéos montrant la triade chinlise de nos jours (reportage d’Arté) . N’hésitez pas à vo us abonnez à nôtre page.  https://www.youtube.com/watch?v=5Egy9uzKuiI

Posts récents

école du lion d’or

L’école du lion d’or, association Pai Liang Qiao, fut fondée en 2014 par Philippe Reus, élève du maître Hu Dong Liang, dernier descendant de l’école du Lotus Blanc.

Inscrivez-vous !

Inscrivez-vous pour recevoir la newsletter de l'école du lion d'or !